littérature et photographie

Catégorie : Critiques et recensions (Page 4 of 13)

Conte de la plaine : « Une belle surprise ! »

La rencontre entre un vieil homme et un jeune garçon. Entre partage, échange et transmission, il se pourrait bien que nos deux personnages se nourrissent l’un de l’autre. Le tout avec une pointe de fantastique. Le pinceau de Jean-Claude Marguerite fait le reste. Écriture lumineuse pour un récit  aux allures de conte, dans lequel la nature est omniprésente. Une belle surprise !

Selon Mathieu Betton  de la librairie Decitre de Grenoble.

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Conte de la plaine : une alchimie passionnante

Pour Léa Delapierre  Conte de la plaine et des bois est « une très belle histoire, avec une très belle conclusion ! » Et elle précise sur son blog, chez le chat du Cheschire :

C’est un très beau conte que nous offre Jean-Claude Marguerite, avec un langage riche, une histoire captivante, presque poétique. Cette introspection d’un homme âgé qui se heurte aux rêves d’un jeune garçon ne peut que nous toucher et nous faire vibrer !

De plus, la relation entre le vieil homme et l’enfant est également très bien décrite, une alchimie passionnante.

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Conte de la plaine : « une plume travaillée et poétique »

Bibiocosme, qui avait apprécié Le Vaisseau ardent (« un pavé de plus de 1600 pages, imposant et exigeant »),  considère  Conte de la plaine et des bois comme une

« fable touchante faisant la part belle à la nature qui retrouve ici tout son potentiel d’émerveillement »

et regrette le peu de pages…

Le tout est porté par une plume travaillée et poétique qui donne lieu à des passages vraiment très beau qui ne manqueront pas de toucher le lecteur (la croisade des feuilles contre l’hiver, par exemple). Si « Le vaisseau ardent » était sans doute un peu trop long en dépit de son indéniable qualité, ce roman ci est en revanche un peu trop court…

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Conte de la plaine et des bois : “Puissant !”

La sortie en librairie de Conte de la plaine et des bois est saluée ce jour par la belle critique du cafardsathome (qui se souvient avoir été « littéralement ensorcelé” par Le Vaisseau ardent) , qui commente ainsi la rencontre entre Manu, son chien et le vieil homme :

Entre balade, discussions à l’emporte-pièce et raisonnements de tous les jours, se dégage un dessein plus grand, qui nous dépasse tous, des pistes pour dégager le sens de la vie, de nos vies. Initiatique, ésotérique et hautement symbolique parfois, ce roman au détour de certaines situations et de certaines phrases échangées font pencher le récit dans la métaphysique : le poids des ans et le parcours de vie effectué, les regrets et remords qui peuvent jalonner certaines existences, les souvenirs bons et mauvais, le passage vers l’au-delà / l’après-vie qui nous attend tous… Sans pathos, ni lourdeurs, simplement par le verbe et l’imaginaire collectif, Jean-Claude Marguerite se révèle une fois de plus être un peintre hors pair de l’humanité, de ses affres et de ses petits bonheurs cumulés.

Et de conclure :

Ce Conte de la plaine et des bois ne vous laissera pas indemne, moi-même j’ai été sacrément secoué par la conclusion de cette petite pépite, cette fiction qui rejoint notre réalité partagée. La lecture est fluide, rapide, enivrante et procure attendrissement, émerveillement mais aussi une douce mélancolie qui envahit le cœur et l’âme. Une sacrée expérience que je vous convie à vivre au plus vite. Ce livre est une perle incontournable et un classique en puissance.

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Conte de la plaine et des bois : “éloge de la rencontre fortuite”

Pour Les Lectures de Pampoune, Conte de la plaine et des bois « se présente d’emblée comme un roman très loin de tout ce que l’on peut connaître… »

C’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé l’écriture pleine de poésie de l’auteur qui sait embarquer son lecteur dans l’univers qu’il décrit et qui ne peut laisser indifférent. Avec des personnages très forts et un cadre étonnant, ce roman à l’intrigue sous-jacente se lit comme une longue poésie et un éloge de la rencontre fortuite. Un livre à découvrir !

Et de conclure :

Jean-Claude Marguerite est un auteur à suivre et dont j’espère bien pouvoir lire bientôt d’autres textes.

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Conte de la plaine : “un écrit pour la beauté”

Première recension de Conte de la plaine et des bois (à paraître en septembre), par Les mots de nanet… Quelques extraits :

Entre conte et expérience de vie, ce livre m’a emporté au-delà des mots sublimes de l’auteur, dans un voyage onirique.

La nature devient un personnage primordial, le quatrième acteur de ce court roman. Elle est magnifiée par les descriptions, se veut joueuse lorsqu’elle éloigne les héros de leurs sentes, bruyante par les cris et échanges des oiseaux, riche par ses couleurs automnales…

Je terminerai par un petit mot sur les trois parties du texte. L’auteur s’amuse des mots et pousse son jeu à changer de narration, dans la partie centrale. C’est très agréable. Un peu comme un essai, un écrit pour la beauté avec des thèmes imposés.
Trois fins sont proposées, avec la vision de chacun des personnages. Je n’ai pas eu de préférence, et je crois que l’une d’elles m’aurait manqué, si l’auteur s’était contenté d’une seule.

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La Vaisseau ardent, une “acmé littéraire” ?

Julie Proust Tanguy l’affirme dans La Légende du drapeau noir, ouvrage de référence sur l’imaginaire et la piraterie (que je découvre trois ans après sa parution).

« Le Vaisseau Ardent de Jean-Claude Marguerite, on peut le lire comme une coupe transversale et fascinante de la piraterie, une fresque qui, non contente de s’approprier le moindre aspect du mythe, le sublime. »

Sur un peu plus de deux pages, la spécialiste de la gent noire compare ce roman à un :

« Never Land concentrant la légende pirate, ses facettes fondatrices, ses filiations, ses déformations et ses héritages. »

Avant de conclure :

« Ce sont ici les pirates qui, dans cette œuvre palimpseste où le temps se cristallise, voguent entre Histoire et mythe, entre utopie enfantine et réalisme adulte. Cette fresque de la « gent noire », imprégnée des réflexions de Gilles Lapouge, arrime ensemble toutes les facettes de l’archétype et les transcende. C’est à se demander s’il est encore possible d’écrire un roman de la flibuste après une telle acmé littéraire… »

La légende du drapeau noir

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