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Conte de la plaine : “le Merveilleux est là, à portée de main”

Pour Maëlle Alan,  Conte de la plaine et des bois “brosse avec une tendresse lucide et une délicatesse toute ciselée, parfois proche du poème en prose, la recherche d’un temps perdu, la nostalgie d’une innocence égarée.”

Les hommages sont nombreux, que ce soit aux livres qui bercent les imaginaires enfantins ou à ceux qui accompagnent les adultes contemplatifs (Bosco, Whitman, Thoreau et Rousseau ne sont pas loin). Tel Charles Foster Kane murmurant son dernier « rosebud », le vieil homme évoque ici sa vie : son premier deuil, ce chien perdu de façon violente (…)

Et de conclure dans le numéro 85 de la revue Bifrost (qui avait parlé du Vaisseau ardent dans son numéro 60), avant d’avertir que, « belle promenade douce-amère », ce roman « s’éloigne des genres habituellement chroniqués » :

Invitation à se perdre, et à se laisser porter par les sensations plutôt que par une histoire structurée, ce texte allégorique nous rappelle que la plus grande aventure reste la vie, dont le sens ne cesse de se défiler, même à l’heure où la nuit tombe.

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Conte de la plaine : fantastique balade

Frédérique Roussel, pour next.liberation, signe une belle recension de  Conte de la plaine et des bois, rencontre entre un vieux monsieur et un jeune garçon  :

Leur périple dure des heures dans une nature qu’à 13 ans, l’homme parcourait les yeux fermés avec Dick, la rivière, l’orme, la vallée, coussins verts, blocs calcaires…

Et de conclure…

Fantastique balade dans des bois hostiles et familiers, sensible revisitation de l’enfance perdue qui a souvent laissé en chacun de soi un Dick aimé.

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… après avoir cité cet extrait :

«Mes lèvres s’étaient crispées. Certes, j’étais préparé à la déconvenue – à mon âge, nul besoin de revenir sur les lieux de son enfance pour apprendre la traîtrise de la mémoire, qui écarte tel épisode et refaçonne tel autre, selon d’obscurs caprices, et nous laisse pantois après s’être bien moqué de nous.»

Conte de la plaine : « une fin émouvante »

« Six ans après la parution du Vaisseau Ardent, épais roman inclassable et improbable, Jean-Claude Marguerite nous revient avec Conte de la plaine et des bois, petit livre de 159 pages paru chez les Moutons électriques. »

nous dit Elbakin, qui précise…

« cet opuscule est avant tout une irruption de la fiction dans le nature writing, ode poétique à la forêt et à l’enfance. Récit doux-amer et profondément humain sur la vieillesse, les regrets et la création, ce Conte de la plaine et des bois est une porte d’évasion servie par une fin émouvante. »

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Conte de la plaine : « subtil »

« Il ne faut pas se fier à l’apparente facilité que peut laisser transparaître ce court roman. »

déclare Salomé Lelièvre sur ActuSF.

« Jean-Claude Marguerite nous invite ici à plusieurs voyages, un voyage physique où nos protagonistes se laissent guider dans la nature, à pied et en barque, mais également un voyage intérieur, plus subtil encore que celui décrit aux confins de la plaine et des bois. »

Et de conclure :

« C’est avec beaucoup de poésie que Jean-Claude Marguerite nous conte ce récit pas banal dont j’en suis ressortie très émue. »

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Chef-d’œuvre tout en séquences glissées et labyrinthiques (Galaxies)

«Chef-d’œuvre tout en séquences glissées et labyrinthiques, rempli de visions que le lecteur fabrique mais qui ne sont pas explicitement dans le livre.»
« Pour ressentir le temps, il faut peut-être plus de temps. 1300 pages, c’est un bon début. Comme une série télé américaine à rallonge. Le temps d’entrer dans un monde parallèle, de s’y lover, se faire enchanter. Peut-être qu’en littérature aussi, il faut désormais mettre la dose pour avoir quelque chose. »
Galaxies 13, l’avis de Sam Lermite

 

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