littérature et photographie

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Horreur vs honneur

Conte de la plaine et des bois est à l’honneur à Bordeaux (une ville qui l’aime bien), puisqu’une édition particulière du roman (les épreuves avant correction) vient en prime d’une campagne Ulule pour la Librairie du Basilic.

J’ai découvert récemment que ce même titre est classé en Horreur et Épouvante sur le site Cultura.
Le Vaisseau ardent (édition Folio SF) est régulièrement casé en Fantastique et Horreur, alors que dans une librairie parisienne son édition originelle (la brique Denoël) figure simultanément dans le rayon Histoire (au grand contentement de l’Ivrogne). Dans une autre célèbre librairie du boulevard Saint-Germain, où le Denoël est resté plusieurs mois sur les tables, l’édition Folio n’a jamais figuré en rayons sous prétexte que c’était de la SF.

Conte de la plaine : « C’est un tableau qu’on lit… »

Remarqué par la bibliothèque de Nîmes, Conte de la plaine et des bois est présenté comme une

passerelle entre les âges et les mondes, entre la réalité et le rêve. Récit allégorique, onirique et philosophique sur l’enfance et ses mystères, les choix de vie, la solitude et la vieillesse…

Et Corinne L. de conclure :

J’ai été séduite par la qualité de l’écriture et la justesse des mots, le style soutenu, le sens du détail et la poésie qui enveloppe la narration. L’écriture picturale nous entraine dans une fantastique balade dans les bois.
C’est un tableau qu’on lit…

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Conte de la plaine : un roman singulièrement inclassable

Pour Chloé Mosimann, de la librairie Payot (Lausanne), “tour à tour cryptique, subtil et éclairant, Conte de la plaine et des bois est un roman singulièrement inclassable.” 

Jean-Claude Marguerite y développe un superbe style nature writing à la frontière du merveilleux pour nous parler de la nécessité de continuer à rêver, passée l’enfance et ses espoirs fous.

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Le présentation du roman :

“Jusqu’à la fin, on ne connaîtra pas son nom. Ce pourrait être n’importe qui, le lecteur y compris, cet homme au crépuscule de sa vie, un homme qui a bâti un empire germé sur le terreau de ses rêves d’enfant. De retour sur les vertes terres vallonnées qui l’ont vu naître et dont il est désormais le propriétaire à défaut d’en être encore l’arpenteur, l’homme est réveillé un soir par des aboiements. Ce son, il le connaît bien : c’est la voix de son chien Dick, le compagnon indéfectible des épopées de son enfance, un chien adoré puis mort tragiquement soixante années plus tôt. Suivant l’irrésistible appel de son passé, marchant dans les pas de l’enfant qu’il était, le vieil homme se lance sur la piste de son fidèle acolyte, par-delà la plaine et les bois. Il sera rejoint dans sa quête par deux compagnons d’aventure dans lesquels il se reconnaîtra, à deux époques différentes de sa propre vie, et découvrira à travers leurs yeux une chose essentielle derrière laquelle il courait sans le savoir vraiment.”

Chloé Mosimann

Conte de la plaine : les larmes aux yeux

« Gros coup de cœur de la rentrée » pour la librairie bordelaise La Zone du Dehors, Conte de la plaine et des bois « c’est de l’amour ».

« C’est le livre qui cette rentrée m’a le plus transporté. 159 pages seulement mais un grand texte. L’histoire d’un vieil homme qui part à la recherche de son chien. Rien d’autre si ce n’est une poésie comme je n’en avais jamais lu. J’ai eu des larmes pointant leurs molécules salées, des frissons, la chair de poule. Parce que c’est beau ! »

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Le 14 octobre, lecture par « Rendez-vous conte » en ma présence.

« Quand j’ai commencé à lire ce roman, j’ai fermé la librairie pour le terminer sans être dérangé », a déclaré Léo en préambule de cette soirée.

2016-10-15-12-49-41Lecture pleine d’émotions par Alix, de Rendez-vous conte.

 

Conte de la plaine : « Une belle surprise ! »

La rencontre entre un vieil homme et un jeune garçon. Entre partage, échange et transmission, il se pourrait bien que nos deux personnages se nourrissent l’un de l’autre. Le tout avec une pointe de fantastique. Le pinceau de Jean-Claude Marguerite fait le reste. Écriture lumineuse pour un récit  aux allures de conte, dans lequel la nature est omniprésente. Une belle surprise !

Selon Mathieu Betton  de la librairie Decitre de Grenoble.

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