littérature et photographie

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“La poésie des mots”

Je découvre avec un semestre de retard une recension Instagram de Conte de la plaie et des bois, de sullyholt.

« Avec un talent indéniable, l’auteur joue sur la temporalité et les formes narratives pour évoquer le pouvoir de la création, les liens à la nature, mais aussi la dernière balade d’un homme égaré dans un décor presque humanisé où le sol, la rivière et les éléments forestiers deviennent étranges et inquiétants. »

Et de conclure : « Il est difficile de parler de cette histoire touchante sans en dire trop. Elle est subtile et les métaphores sont nombreuses. Le mieux est de la vivre à travers la poésie des mots de Marguerite.”

Un patchwork littéraire inédit

Première recension 100 % Instagram du Vaisseau ardent de @ La_Preface  pour qui :

le récit est ponctué de mythes, d’histoires annexes, de retours historiques. Le résultat est un patchwork littéraire inédit, dont la lecture est aussi spéciale qu’excitante.

Marguerite réussit un tour de force dans Le Vaisseau Ardent. Dix-huit ans auront été nécessaires à l’écriture de cette œuvre aussi longue qu’excellente. Inclassable, au carrefour entre plusieurs styles et plusieurs genres, Le Vaisseau Ardent est un roman qui révolutionne la manière de penser le récit.

Le Vaisseau ardent : un vertige littéraire

Dix ans après la parution du Vaisseau ardent, qualifié de « vertige littéraire », yossarian publie cette profonde analyse dans ses coups de cœurs.

Nous voici devant un texte dans lequel on plonge, on s’immerge entièrement, pour mieux se laisser couler dans un récit chatoyant tel un mirage à l’horizon marin.

Quête, enquête (dans le sens d’Hérodote) et chasse au trésor, Jean-Claude Marguerite entrecroise les registres, mêle le passé et le présent, les souvenirs, les témoignages et la fiction pour mieux déconstruire sa narration.

Et de conclure :

Le Vaisseau ardent imprègne durablement l’esprit, ré-enchantant en même temps l’imaginaire au point d’inciter à sa relecture, à défaut de retomber en enfance.

50 chefs-d’œuvre du Fantastique et de la Transfiction

Le Vaisseau ardent figure dans le classement des 50 chefs-d’œuvre du Fantastique et de la Transfiction de justaword.

« Partez explorer des contrées étranges et perdez-vous dans les interstices avec la Bibliothèque idéale du Fantastique et de la Transfiction. Si vous ne savez pas où aller et que les genres vous ennuient, si les étiquettes vous pèsent et que vous cherchez de nouveaux territoires à explorer, alors embarquez-vous dans un voyage où plus rien n’est réel… ou presque ! »

Un roman addictif: Le Vaisseau ardent

« Le Vaisseau ardent (T1, Le Pirate Sans Nom) est un livre addictif, et passionnant, avec des personnages touchants et attachants. »

Tel est, en résumé, l’avis de Mickaeline, qui livre également quelques citations, dont ces extraits (à propos de la commande passée à l’Ivrogne d’un livre sur la piraterie)…

Le livre devait abonder dans le genre, l’éditeur ne visait ni l’originalité ni la vraisemblance, mais la mise en scène d’une panoplie d’archétypes sur fond d’horizons lointains – au lecteur de suppléer à la pauvreté du texte par les images puissantes de son cinématographe personnel.

Mais, bon… Un pirate qui pleure, ça prête à rire. 

J’ai une pire idée : l’amour. Ça marche à tous les coups – et ceci est une vérité historique : tant de grands desseins sont nés du vaudeville…

Et puis, petit plaisir, après avoir eu deux superbes couvertures des éditions papier, ce commentaire sur la version numérique que j’ai composée en reprenant le tableau qui m’a accompagné pendant l’écriture de ce premier roman.

« Je reconnais que cette couverture m’intriguait au plus haut point. Elle laisse planer un certain mystère, que j’avais vraiment envie de percer. »

Le Vaisseau ardent : un roman d’aventure

Nevertwhere a retroussé ses manches, vidé sa PAL et s’est attaquée au Vaisseau ardent

«.… un roman qu’il vaut mieux emmener lors d’un long trajet où on pourra s’immerger plus facilement dans la lecture pendant plusieurs heures d’affilée. Un roman d’aventure à lire donc de préférence lorsque l’on part soi-même à l’aventure ! »

 

« La deuxième partie s’est révélée beaucoup plus linéaire et facile à lire. Mettant en scène une aventure qui pourrait évoquer des romans de Jules Verne dans son commencement, elle prend par la suite un tournant inattendu en direction des mythes anciens et de Peter Pan, et rassemble plutôt bien les différentes pièces du puzzle sur la fin. »

 

« Superbement orchestré et bien documenté, Le vaisseau ardent est donc un roman fort intéressant à lire et plutôt prenant, surtout quand on aime les histoires de pirates.»

Le Vaisseau ardent (couvertures Folio et ebook)

Le Vaisseau ardent (Folio et ebook)

Aurais-je raté ma vocation ? (podcast)

Selon Neil Jomunsi*, j’ai raté ma vocation, celle d’homme-orchestre. C’est du moins ce qui ressort de la présentation de l’entretien-promenade qui s’est déroulé dans les allées du cimetière du Père-Lachaise à Paris. Pourquoi ce cimetière ? Pourquoi homme-orchestre ? Tout est dit dans ce podcast, un peu moins d’une heure sur la littérature, la photo, la musique, le dessin, l’édition, les enfants…

Jean-Claude Marguerite a raté sa vocation d’homme-orchestre, mais continue de toucher à tout : écrivain, journaliste, publicitaire, photographe, il est notamment l’auteur de deux romans, « Le Vaisseau Ardent » (Denoël) et « Conte de la plaine et des bois » (Les Moutons Électriques). Avec lui, je remonte les allées du Père-Lachaise pour causer écriture, lumière et temps qui passe.

Sur la photo, voir celles du statutaire féminin du Père-Lachaise, celles des affiches altérées du métro parisien.

  

 

*(éditeur Walrus, blogueur page42.org, et nouvelliste marathonien du projet Bradbury), Neil Jomunsi propose désormais Pod42, “le podcast où pendant une heure, on parle de tout et de rien avec celles et ceux qui font la culture, et c’est très bien comme ça.”

Conte de la plaine : “tous les compliments du monde !”

Niooz, qui avait aimé Le Vaisseau ardent, partage son avis sur Conte de la plaine et des bois  (et aussi sur babelio) qui « mériterait tous les compliments du monde ! »

Il y a un voyage de fin de vie, un voyage d’inspiration et un voyage d’apprentissage. (…) Comment ne pas se sentir transporté après tout cela ? Comment ne pas aimer ce voyage si bien écrit, avec un rythme parfait pour ce genre de balade. On a envie de prendre ce livre et de l’emmener faire le tour du monde. On a envie de sentir l’herbe après la pluie. On a envie d’entendre les bruits des rames sur un lac. On a envie d’écouter de belles chansons pendant la marche. On a envie de cueillir des fleurs sauvages au soleil. Merci Jean-Claude et à très vite j’espère…

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