Bibiocosme, qui avait apprécié Le Vaisseau ardent (« un pavé de plus de 1600 pages, imposant et exigeant »),  considère  Conte de la plaine et des bois comme une

« fable touchante faisant la part belle à la nature qui retrouve ici tout son potentiel d’émerveillement »

et regrette le peu de pages…

Le tout est porté par une plume travaillée et poétique qui donne lieu à des passages vraiment très beau qui ne manqueront pas de toucher le lecteur (la croisade des feuilles contre l’hiver, par exemple). Si « Le vaisseau ardent » était sans doute un peu trop long en dépit de son indéniable qualité, ce roman ci est en revanche un peu trop court…

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