littérature et photographie

Catégorie : Critiques et recensions (Page 3 of 13)

Conte de la plaine : un livre qui fait du bien

Nouvelle présentation sur YouTube du roman Conte de la plaine et des bois par Il était une fois Perseneige, qui a songé à Pascal Quignard (Tous les matins du monde) et apprécie :

« le parcours rétrospectif du vieux monsieur, qui revient à des choses qu’il avait oubliées et qui pourtant ont toujours été présentes en lui« . Bref, « un livre parfait pour l’automne… Un livre qui fait du bien »

(ce qui me semble être l’un des plus beaux compliments qu’on puisse faire à propos d’un roman).

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Conte de la plaine : retrouver son âme d’enfant

Pour NokomisM, de Phenix-Web, Conte de la plaine et des bois est non seulement une « histoire qui nous prouve que parfois, le merveilleux se trouve juste derrière la porte… », mais qui pose des « questions qui resteront sans réponses, mais auxquelles le lecteur réfléchit, lui aussi, au fil des pages. »

« On frôle le fantastique à certains moments sans jamais vraiment sortir de la réalité. Tout comme ce vieil homme, on se demande, on s’interroge. Qui est vraiment Albert, le compagnon d’un gamin perdu ou la réincarnation du chien de son enfance ? Mister Kreekle, personnage fétiche de ce créateur d’histoires, n’aurait-il pas transmis un peu de son pouvoir à celui qui l’a fait naître à l’écran ? Et ce jeune garçon pour lequel tout est encore possible, ne serait-il pas celui que le vieil homme souhaiterait tant retrouver, lui qui ne peut aujourd’hui vivre que les conséquences des choix qu’il a faits par le passé ? »

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Conte de la plaine : polyphonique

C’est essentiellement une analyse stylistique que propose AMR sur Babelio (site qui  classe Conte de la plaine et des bois parmi les contes philosophiques, dont Micromégas, ma découverte du genre, au lycée), séduite par :

« une écriture à la frontière entre les modalités de représentation, scripturale certes mais également picturale. » (…) J-C Marguerite utilise plusieurs niveaux narratifs et jongle avec les points de vue et la temporalité. »

Cette recension, développée et argumentée,  situe le style du roman au service du fond  :

« la qualité de l’écriture, par la justesse dans le choix des mots et le style soutenu, par le sens de détail et par la poésie qui enveloppe la narration, et puis surtout il m’interroge.  » (…)  « Mais c’est surtout un récit allégorique, onirique et philosophique sur l’enfance et ses mystères, les choix de vie, la solitude, la vieillesse et la mort puis sur les passerelles entre les âges et les mondes, entre la réalité et le rêve. »

Et de conclure, après avoir disséqué les jeux narratifs propres à chaque partie :

 « L’écriture se fait polyphonique, le point de vue s’élargit à l’universel. »

A44721.inddAMR analyse Conte de la plaine et des bois en regard du Vaisseau ardent.

Conte de la plaine : une parabole

On me signale cette jolie recension sur la page Facebook de Bertrand Campéis (spécialiste de l’uchronie), postée il y a un certain temps, à propos de Conte de la plaine et des bois :

« C’est l’histoire d’un rêve, d’un personnage, devenu trop grand pour son créateur, qui a fini par prendre toute la place pour remplir le vide d’une existence. Ce sont les projets que l’on remet toujours à demain : l’histoire que l’on écrira, le retour triomphal que l’on effectuera dans SON entreprise. Le renouveau.
C’est une parabole sur la fin inévitable qui nous attend, sur le passage de flambeau, les premières et les dernières histoires que l’on raconte.
Et puis la nuit nous enveloppe tout doucement. Tout s’éteint, et une étoile s’allume dans le ciel.
Bonne Lecture. »

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Conte de la plaine : les larmes aux yeux

« Gros coup de cœur de la rentrée » pour la librairie bordelaise La Zone du Dehors, Conte de la plaine et des bois « c’est de l’amour ».

« C’est le livre qui cette rentrée m’a le plus transporté. 159 pages seulement mais un grand texte. L’histoire d’un vieil homme qui part à la recherche de son chien. Rien d’autre si ce n’est une poésie comme je n’en avais jamais lu. J’ai eu des larmes pointant leurs molécules salées, des frissons, la chair de poule. Parce que c’est beau ! »

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Le 14 octobre, lecture par « Rendez-vous conte » en ma présence.

« Quand j’ai commencé à lire ce roman, j’ai fermé la librairie pour le terminer sans être dérangé », a déclaré Léo en préambule de cette soirée.

2016-10-15-12-49-41Lecture pleine d’émotions par Alix, de Rendez-vous conte.

 

Conte de la plaine : « une fin émouvante »

« Six ans après la parution du Vaisseau Ardent, épais roman inclassable et improbable, Jean-Claude Marguerite nous revient avec Conte de la plaine et des bois, petit livre de 159 pages paru chez les Moutons électriques. »

nous dit Elbakin, qui précise…

« cet opuscule est avant tout une irruption de la fiction dans le nature writing, ode poétique à la forêt et à l’enfance. Récit doux-amer et profondément humain sur la vieillesse, les regrets et la création, ce Conte de la plaine et des bois est une porte d’évasion servie par une fin émouvante. »

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Conte de la plaine : « subtil »

« Il ne faut pas se fier à l’apparente facilité que peut laisser transparaître ce court roman. »

déclare Salomé Lelièvre sur ActuSF.

« Jean-Claude Marguerite nous invite ici à plusieurs voyages, un voyage physique où nos protagonistes se laissent guider dans la nature, à pied et en barque, mais également un voyage intérieur, plus subtil encore que celui décrit aux confins de la plaine et des bois. »

Et de conclure :

« C’est avec beaucoup de poésie que Jean-Claude Marguerite nous conte ce récit pas banal dont j’en suis ressortie très émue. »

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« Conte de la plaine » : émotion et ressenti

Melisande parle de Conte de la plaine et des bois, « cette histoire quelque peu étrange et onirique », un livre « tout en émotion et ressenti ».

En bref, Conte de la Plaine et des Bois est un roman que j’ai beaucoup aimé. On se laisse totalement emporter par la plume et l’univers de l’auteur qui nous propose un voyage d’un autre genre ici. Une quête initiatique ou la fin d’un voyage, un roman vraiment prenant que je vous conseille vivement.

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Melissande avait déjà évoqué Le Vaisseau ardent « un roman captivant qui nous fait voyager et développer notre imaginaire. »

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