Que nous disent les affiches déchirées dans les couloirs du métro, les tags à moitié effacés ? Nous n’y prenons pas garde, nous passons devant sans marquer d’arrêt. Mais notre cerveau réclame du sens, il ne peut s’empêcher de recréer des histoires. Il associe ces reliquats à sa guise, ces morceaux choisis deviennent le miroir subliminal de nos préjugés.
Depuis des années, je photographie plus particulièrement ce qui me touche, me séduit, m’agace, me répugne de notre «vision» des femmes*. Un reflet édifiant du sexisme ordinaire.
Chaque dimanche midi, à partir du 28 janvier 2024, retrouvez sur ce blog une de ces photographies commentées. Abonnez-vous!
* Attention, spoiler : je ne décolère pas.
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