Mes rares fréquentations du métro parisien ne suffisent probablement pas à expliquer pas mon désintérêt pour ses affiches, et leurs énigmes. Preuve en est le plaisir ressenti d’être interpellé non pas par le regard d’une passante, mais par cet œil et ce demi-sourire qui ont survécu aux déchirures, et qui m’invitent à m’arrêter, à prendre du retard sur mon rendez-vous, à témoigner que malgré les apparences la rébellion n’est pas morte : la publicité se lézarde, ses stéréotypes bricolés s’évadent. Parisiens, vous n’êtes plus seul dans le métro !
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