littérature et photographie

Catégorie : Le Vaisseau ardent (Page 5 of 13)

obèse

« Du Pirate sans Nom au Vaisseau Ardent
Outre son obésité, ce qui frappe quand on plonge dans le Vaisseau ardent, c’est l’originalité de sa forme. Rares sont en effet les pages (un petit quart du livre maximum) qui narrent comme on en a l’habitude les aventures vécues par les protagonistes de manière directe. JCM préfère apparemment nous raconter comment tel ou tel personnage nous rapporte l’histoire de tel autre. Et force est de constater que ça fonctionne. »

Le Blog des Bouquins, l’avis d’Emmanuel, le 30 octobre 2014

conquise par Le Vaisseau ardent

Je dois dire que j’ai été bluffée par l’imagination de Jean-Claude Marguerite et moi qui ne lis plus autant de Fantasy qu’avant (c’est ça d’élargir ses horizons et d’être en librairie jeunesse), j’ai été conquise par Le Vaisseau ardent. C’est un univers très riche qui ne cesse de se dévoiler tout au long de ces pages et croyez-moi vous ne serez pas déçus.

L’avis de Melisande (acccrocdeslivres), le 10 octobre 2014

une écriture pélagique

«Livre hors norme, y compris par sa taille – 1500 pages dans l’édition Folio SF – Le Vaisseau ardent s’apparente à ces ouvrages comme Le Quatuor de Jérusalem dans lesquels historiens et conteurs se disputent la vérité du monde et forment d’immenses chaînes de savoirs et de mythes qui défient l’océan insondable du Temps.»

«Nous avons affaire ici à une écriture pélagique, où le lecteur est sans cesse rejeté des terres événementielles vers les eaux hauturières de l’introspection et du souvenir. La découverte de l’île Noire par l’Ivrogne tient autant de l’exploration minérale qu’à une immersion psychédélique. »

La Sortie est au fond du web, l’avis de Soleilvert, le 7 septembre 2014

D’où vous est venue l’idée du Vaisseau ardent? (Leatouchbook)

Interview de Léa, de Léa Touch Book, le 10 août 2014

– D’où vous est venue l’idée du Vaisseau ardent ?

En revenant de voir Hooks, de Stephen Spielberg, séduit par l’idée du Pays imaginaire visité par des adultes, j’ai inventé une histoire pour mon fils qui avait huit ans. Je souhaitais moins mettre en scène un monde irréel que pousser le plus loin possible l’idée d’une communauté d’enfants vivant à l’écart des adultes. Ils jouent et cela leur prend tout leur temps. Bien sûr, il y avait un pirate qui veillait sur eux dans un vaisseau fabuleux, lequel suscitait la convoitise d’explorateurs qui perturbaient cette belle utopie… De ce conte, j’ai tiré un court récit, puis un petit roman que j’ai proposé à des éditeurs jeunesse, sans succès, mais avec de réels encouragements.

– Considérez-vous ce roman comme l’œuvre de votre vie ?

Plus maintenant, mais en l’écrivant, oui. C’était mon premier roman. Je me disais que s’il devait n’y en avoir qu’un, ce serait celui-là (ce qui est toujours le cas). C’est ce qui m’a donné l’audace de mêler autant d’histoires et de formes d’écriture. Je ne suis pas sûr de retrouver le même élan, mais ce n’est pas non plus nécessaire. J’ai d’autres livres en tête, ils me stimulent chacun à leur manière.

– Avez-vous d’autres projets littéraires ?

Oui. De quoi écrire pendant plusieurs vies. Le choix est difficile. D’autant que j’écris comme je peindrais des glacis monumentaux, par d’innombrables couches minces et en laissant longtemps reposer entre deux… Je réécris sans cesse, pas seulement pour le style, mais pour apporter de la profondeur, passer en actions ce que je conçois d’abord en longues descriptions…

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L’épopée magnifique

En quelques surnoms, Jean-Claude Marguerite ose mettre des mots sur des comportements, des attitudes, des caractères. Et c’est tout un univers linguistique qui apparaît à la lecture. Le travail sur les mots, leurs sens, leurs sons, leurs interprétations, est immense. Tout est une affaire de mot et chaque personnage a son rapport privilégié avec ceux-ci. Alors qu’un personnage se rassurera dans l’élaboration de listes mentales de mots, un autre retournera, encore et encore, les mêmes mots jusqu’à les défaire complètement de leur sens initial pour en faire le « son » d’une quête.»

L’avis d’Ygrek Hoan, sur son blog éponyme (16 juin 2014)

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