« cette saga monumentale et éblouissante nous embarque pour la plus grande chasse au trésor jamais contée »
L’Amour de livres
littérature et photographie
Désolé de laisser ce blog inactif depuis des mois… Les rares fois où je m’aventure encore dans le dédale des couloirs du métro parisien, j’ai si peu de temps que je ne photographie presque plus… J’ai bien récolté quelques images pittoresques, mais rien qui sorte de l’anecdotique.
En revanche, je puis vous signaler la sortie du mon roman, Le Vaisseau ardent, en eBook (2 tomes à 6,99€, sans DRM).
Pour en savoir plus, cliquer sur ce lien…
«A travers le monde et l’Histoire, Jean-Claude Marguerite nous embarque dans un récit passionnant, palpitant, qui fait appel à nos âmes d’enfants (…) Avec pour autant également une réflexion d’adulte : quelle est réellement la nature du trésor qui, toute notre vie, nous poussera à nous dépasser et à donner le meilleur de nous-mêmes.»
« Ce roman fleuve de 1200 pages, écrit sur 18 ans, enchaine les digressions magnifiques, les récits épiques, permettant à ses quelques narrateurs de nous conter la plus fabuleuse histoire de pirates jamais écrite. Un monument ! »
Le choix de nm-reader, dans son classement : La polyphonie narrative dans la Littérature
«L’énorme et immense Vaisseau ardent»
La wish list de Noël, d’Olivier Legendre (librairie Sauramps, Montpellier)
Tout au long de l’écriture du Vaisseau ardent, j’ai eu en tête les tableaux de William Turner. Lorsque Gilles Dumay a retenu le livre pour Lunes d’encre, cette source d’inspiration ne correspondait pas à l’esprit de sa collection. Finalement, Denoël a déniché cette superbe photographie de Valsecchi pour la couverture – une image (l’enfant regarde bel et bien le voilier) qui aurait pu être à l’origine du roman.
Pour l’édition numérique du Vaisseau ardent, c’est tout naturellement que la silhouette de ce jeune garçon se profile sur le tableau de Turner qui se rapproche le plus du livre, “The Slave Ship” (un négrier traqué par le “Libérateur” ?).
« L’ensemble s’article au rythme d’une technique de narration parfaitement élaborée qui emprunte à plusieurs styles littéraires : narration classique, récit de seconde main, journal intime, pièce de théâtre, correspondance, retranscription de légendes orales, comme si, à chaque pan de l’histoire le besoin s’était fait sentir de procéder à une transmission à travers des aventures vécues par procuration. »
« Le Vaisseau Ardent est un roman sniper : la première page fait mouche et vous fauche pour ne pas vous laisser vous relever : impossible d’y échapper, où vous arrivez à la fin du livre et il vous hante ou vous le reposez et il vous obsède, vous pousse à en reprendre le chemin.
Le Vaisseau Ardent est un roman fleuve, que l’auteur nous fait remonter, descendre et qui nous offre en sus l’exploration des sinuosités comme des affluents.
Le Vaisseau Ardent est le premier grand roman français de ce début du XXXe siècle, important et imposant, tant par sa taille que par sa richesse, sa profondeur et son ambition ! »
© 2024 Jean-Claude Marguerite
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