« Du Pirate sans Nom au Vaisseau Ardent
Outre son obésité, ce qui frappe quand on plonge dans le Vaisseau ardent, c’est l’originalité de sa forme. Rares sont en effet les pages (un petit quart du livre maximum) qui narrent comme on en a l’habitude les aventures vécues par les protagonistes de manière directe. JCM préfère apparemment nous raconter comment tel ou tel personnage nous rapporte l’histoire de tel autre. Et force est de constater que ça fonctionne. »

Le Blog des Bouquins, l’avis d’Emmanuel, le 30 octobre 2014