En quelques surnoms, Jean-Claude Marguerite ose mettre des mots sur des comportements, des attitudes, des caractères. Et c’est tout un univers linguistique qui apparaît à la lecture. Le travail sur les mots, leurs sens, leurs sons, leurs interprétations, est immense. Tout est une affaire de mot et chaque personnage a son rapport privilégié avec ceux-ci. Alors qu’un personnage se rassurera dans l’élaboration de listes mentales de mots, un autre retournera, encore et encore, les mêmes mots jusqu’à les défaire complètement de leur sens initial pour en faire le « son » d’une quête.»

L’avis d’Ygrek Hoan, sur son blog éponyme (16 juin 2014)