Pendant trois jours, je vous livre une variation sur un visage, le même issu de trois affiches situées dans le même couloir du métro, presque l’une à côté de l’autre. Quelques tags ou déchirures métamorphosent véritablement l’image originelle.
En découvrant ces affiches, j’ai pensé à celles de Rolland Barthes, vues il y a six ou sept ans dans un couloir de la station Réaumur Sébastopol, qui sont à l’origine de ma dé »marche. Seuls les yeux avaient été barbouillés, de façon très méthodique et similaire ; cependant, aucun portrait ne ressemblait plus à l’autre. Hélas, j’avais trop hésité à revenir et tout avait disparu… (ici aussi d’ailleurs)