littérature et photographie

Catégorie : Critiques et recensions (Page 6 of 13)

Envie de relire Le Vaisseau ardent…

« Feu et Glace », « Opposé et vide » sont exactement les expressions qui résument votre état d’esprit après avoir refermé ce roman. Sa lecture a été marquante et intense qu’un mois après, j’ai toujours autant de mal à me replonger dans un autre roman.

Anassette a lu Le Vaisseau ardent, et souhaite le relire…

A bien des égards, ce roman m’a fait penser à L’Odyssée quand je lisais la partie où l’Ivrogne était le principal narrateur. Et c’est le meilleur compliment que je peux faire sur un roman !

Le Vaisseau ardent (couvertures Folio et ebook)

Le Vaisseau ardent (Folio et ebook)

Le Fou de Dieu, des mots d’amour et de liberté

Mickaéline et ses livres a lu Le Fou de Dieu le jour de la marche républicaine où nous scandions #JeSuisCharlie, interpellée par l’écho de ces journées. Sur la toile, l’expression « fou de dieu » a beaucoup circulé. Les mêmes mots, déformés. Curieux amalgame. Dans ma nouvelle, mon jeune poilu, comme son personnage imaginaire,  « le Paisible », déborde d’amour, mais il n’est pas libre.

Mickaéline ressort de cette nouvelle :

Les mots comme échappatoire. « L’envie furieuse d’écrire, mais d’écrire vraiment, s’est emparée de lui. Voilà. Ferdinand s’est trouvé. Sa misère, sa dérive, sa perdition – tout s’agence enfin. Il doit écrire, maintenant. Sa colère est au prix de ce chant-là. Sa délivrance, aussi. L’ultime apaisement de l’âme. »

Elle cite cet autre extrait :

Le Paisible n’avait pas livré combat. Il regardait les uns puis les autres, s’adressait à tous. Les bras en croix, lui qui ne parlait pas, il hurlait. Mais personne ne l’entendait.

Pour conclure :

Une fois de plus, la plume de Jean-Claude Marguerite, m’a touché par sa justesse. À l’inverse du Vaisseaux Ardent, cette nouvelle est très condensée. Mais si elle est petite en page, elle est riche en qualité. J’y ai retrouvé l’atmosphère qu’on me contait de cette époque.

Vaisseau ardent : roman addictif hors du commun

A la base, le fantastique pur et dur est un genre que je n’apprécie que moyennement ou plutôt un genre auquel je n’accorde que peu d’intérêt.

nous dit Ségo Pampoune sur Les lectures de Pampoune à propos du Vaisseau ardent juste avant Noël.

Et puis, il y a la mise en abyme de l’histoire du pirate et à partir de là le lecteur est plongé dans une merveilleuse aventure où la part de fantastique, bien qu’omniprésente, passe très bien comme si « tout était normal », comme si, finalement, le fantastique n’était rien d’autre que la vérité vraie. Même lorsque plus tard le vaisseau ardent apparaîtra, le lecteur aura l’impression que celui-ci existe devant ses yeux.

Le Vaisseau ardent (couvertures Folio et ebook)

Le Vaisseau ardent (Folio et ebook)

Le Vaisseau ardent : « plus qu’une aventure »

Les nombreuses pages tournent toutes seules car, en effet, vous vous prenez vite à cette aventure traitée en deux temps. Vous vous demandez jusqu’au bout où l’auteur veut vous emmener. Puis vous lâchez prise, vous vous laissez porter au gré du navire en savourant votre aventure de pirates modernes.

Conquis par sa couverture Folio, Dans la Bibliothèque de Koko est « venu à bout » des 1562 pages du Vaisseau ardent.

Ce livre, c’est plus qu’une aventure, c’est un rêve d’enfant devenu réalité.

Le Vaisseau ardent (couvertures Folio et ebook)

Le Vaisseau ardent (Folio et ebook)

inclassable, à la croisée des genres

Selon K, du site Elbakin.net, Le Vaisseau ardent

… appartient à cette catégorie d’ouvrages qui vous marque et vous change une fois la dernière page refermée.
C’est un livre mélangeant mythes et piraterie mais c’est avant tout un livre sur l’enfance, avec des portraits touchants et crédibles, un récit sur  les  familles, le rapport aux adultes et à leur  monde. Lire Le Vaisseau ardent c’est se plonger dans une expérience surprenante, entre histoire et fantastique, sans jamais savoir ce que nous réserve le reste du récit.

un foisonnement littéraire à nul autre pareil

«C’est un foisonnement littéraire à nul autre pareil qui m’a été permis de découvrir ici, on en éprouve un grand plaisir, quasiment une jouissance intellectuelle par moment, la forme étant au service du fond et non l’inverse.  Tout cela donne une dimension vraiment unique à ce roman. L’expression « raconter une histoire » n’a jamais pris autant de sens que dans ce roman multiforme d’une efficacité redoutable si l’on se laisse convaincre et emporté par un auteur vraiment hors norme.»
Le Capharnaüm éclairé, l’avis de Mr K., le 30 octobre 2014 
« Older posts Newer posts »