Si la blogueuse des pipelettes n’aime pas Anton adulte, devenu le commandant Petrack, le qualifiant de :

« un être froid, manipulateur et imbu de lui-même »

la seconde partie de la Rédemption du pirate l’a enthousiasmée.

« C’est la rencontre des enfants qui a été pour moi le déclic. À partir de là, j’ai été complètement happée par le récit. J’ai adoré ces enfants, ils m’ont touchée, ils m’ont fait rire, ils m’ont émue. Pour moi, ce sont eux les vrais héros du livre. »

Ce en quoi je suis bien d’accord…
Et de conclure :

« C’est un hymne magnifique à l’enfance, sa liberté et son innocence. C’est une manière parfaite de clore l’histoire du Vaisseau ardent et c’est le sourire aux lèvres que j’ai refermé le livre. »

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Les pipelettes avaient chroniqué le premier volume du Vaisseau ardent, Le Pirate Sans Nom, ici