« Prenez un auteur inconnu (Jean-Claude Marguerite), ajoutez 18 années d’élaboration et d’écriture (!), puis une pincée de… 1280 pages (le roman était prévu à l’origine en deux volumes), mettez au four en ajustant le thermostat sur des thèmes aussi riches que la piraterie, la navigation, l’histoire, l’enfance, la mythologie, laissez cuire un bon mois (le temps de tout lire, car ce roman prend du temps mais il n’est ni long, ni ennuyeux), allez enfin dans votre librairie préférée et demandez : Le Vaisseau Ardent s’il vous plaît !

Voici dans le désordre la recette de ce qui va sans doute devenir l’un des plus grands romans d’aventures de l’histoire de la littérature française. Bien-sûr on peut rajouter que c’est très bien écrit, que ça rend hommage au genre tout en apportant une nouvelle pierre à l’édifice, on peut épuiser le dictionnaire des synonymes pour rechercher des qualificatifs pour cette oeuvre monumentale, mais comme je vous l’ai dit c’est un roman qui nécessite d’avoir un peu de temps devant soi, alors pas la peine d’en perdre inutilement, bienvenue à bord et découvrez vite l’énigme du Pirate Sans Nom et celle du Vaisseau Ardent ! »

Odyssée (Saint-Malo)

et Coup de cœur de l’été 2010 ici

 

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(photo © Ouest-France)