littérature et photographie

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premier grand roman français

« Le Vaisseau Ardent est un roman sniper : la première page fait mouche et vous fauche pour ne pas vous laisser vous relever : impossible d’y échapper, où vous arrivez à la fin du livre et il vous hante ou vous le reposez et il vous obsède, vous pousse à en reprendre le chemin.

Le Vaisseau Ardent est un roman fleuve, que l’auteur nous fait remonter, descendre et qui nous offre en sus l’exploration des sinuosités comme des affluents.

Le Vaisseau Ardent est le premier grand roman français de ce début du XXXe siècle, important et imposant, tant par sa taille que par sa richesse, sa profondeur et son ambition ! »

L’avis de culture en pagaille

une œuvre monumentale

« Pirate Sans Nom est une énigme. Le mystérieux forban au pavillon blanc ne serait-il qu’un rêve d’or, de rêves et de sang ? Son existence problématique guide pourtant la plume de Jean-Claude Marguerite et fournit l’accroche d’une œuvre monumentale, dans la plus impressionnante acception du terme. Un roman bâti comme un puzzle, un livre foisonnant où l’aventure maritime, les références à l’Histoire, côtoient mythes bibliques et païens. »

L’avis du Cafard Cosmique, dans son Noël imaginaire 2010

Le Vaisseau ardent : «la démesure»…


Critique du Vaisseau ardent sur Les Chemins de Khatovar : « Ce roman est celui de la démesure. (…) La narration est lente mais étrangement les longueurs, même si on n’y échappe pas complètement, sont relativement peu nombreuses en comparaison de l’ampleur du livre. Grâce à une structuration parfaitement maîtrisée, on est happé par le récit, en ayant encore et toujours envie d’avancer dans l’histoire. »

Le Vaisseau ardent


Actu SF vient de consacrer un article au Vaisseau ardent, qualifié de «Quête existentielle et symbolisme autour des mythes fondateurs de l’humanité et des légendes de la piraterie.»

«En ouvrant les pages du Vaisseau ardent, c’est au cœur des légendes que le lecteur se trouve embarqué. Non pas uniquement vers les mystères des récits classiques de flibustiers, mais bel et bien dans une quête de toute une vie, à la recherche des mythes originels qui constituent le fondement de nos sociétés.»

Je me nomme donc je suis

« Les noms des personnages constituent le leitmotiv du roman. La plupart ne sont d’ailleurs pas les vrais noms des protagonistes, mais les surnoms qui les désignent et qui les qualifient le mieux : Coupe-jarret, Fureteuse, Balafrée, Pue-la-mort, Mère-des-anges, L’Ours, L’Albatros, Qui-perd-gagne, Bouffon-savant, Morne-mer, Tempête…. et bien sûr Le Pirate Sans Nom lui-même, insaisissable car non nommé. Ces noms riches en symboles ne décrivent ceux qui les portent que par un seul de leurs attributs, tellement semblables aux dénominations que se donnent et se choisissent les pirates pour se définir. On n’existe que si l’on est nommé, et le nom dont on nous baptise ou que l’on se donne fait sens, nous crée et nous construit. »

L’avis de Chloé, pour Actu-SF

Le Vaisseau ardent est né d’un conte destiné à votre fils (ActuSF)

Interview de Chloé, ActuSF

Jean-Claude Marguerite est l’auteur du Vaisseau ardent, son premier roman paru aux éditions Denoël au mois de juin 2010

ActuSF : Le Vaisseau ardent est né d’un conte destiné à votre fils. Comment vous est venue l’idée de transformer cette histoire en véritable roman pour adulte ?
Jean-Claude Marguerite : Lors d’un dîner amical, j’ai été invité à parler de ce conte, qui était devenu un roman qui avait plu sans convaincre d’éditeur. Mon interlocuteur dirigeait une revue de plaisance italienne et j’ai naturellement axé ma présentation sur la présence du voilier qui brûlait sans se consumer. Et tout en parlant, j’ai réalisé que j’étais passé à côté de quelque chose d’essentiel : ce vaisseau que je traitais comme un accessoire méritait rang de personnage.
Avant la fin du dîner, cet ami me proposait de publier un livret de 80 pages sur ce vaisseau, pour accompagner son numéro d’été. J’ai dit oui, tout en sachant que je n’avais pas encore matière à dix pages ! Je me suis aussitôt lancé dans l’enfance d’Anton Petrack. Mais le temps de rédiger un chapitre et de faire un plan, le projet tombait à l’eau, au profit d’une simple nouvelle de cinq mille signes. Le plan en faisait le double. J’ai donc écrit L’Île du Chaos noire, que j’ai fait traduire en italien… et qui n’est pas parue.
Cela faisait douze ans que je travaillais (assez épisodiquement) sur cette histoire, vous imaginez la frustration… C’est certainement elle qui m’a décidé à m’y remettre. Mais je n’aurais peut-être pas relevé le défi si je ne venais pas aussi de découvrir un plaisir profond à écrire sans les restrictions de la littérature jeunesse. Ce fut une vraie libération.

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