Conjonction des astres favorable. Voyage en Toscane. Deux semaines en couple, « conjointement » dédiées à l’écriture. À la veille du départ, coup de fil du CNL qui m’accorde une bourse de création. Beau ciel et belles ombres dans l’avion. Pause nocturne en vue de la tour de Pise. Puis maison agrémentée des toiles de Clet Abraham qui l’a habitée. Découverte de l’œuvre de son père, Jean-Pierre Abraham (lecture de cinquante pages de Armen, la vie dans un phare breton – la mer en pleine montagne, alors qu’un loup a mangé un chat du voisinage !), proche d’André Dhôtel dont je découvre l’œuvre sur les conseils de Nina Kazar qui a situé Conte de la plaine et des bois entre André Dhôtel et Alain-Fournier. Inauguration en parallèle d’un casque réducteur de bruit et de « Last Day In July » de Julia Kent (le loup n’a pas osé s’attaquer au coq d’en dessous la fenêtre). Totale immersion dans le roman démesuré dans lequel je me suis lancé. En termine une partie difficile (80 pages en une semaine), entame la suivante et avant-dernière… Connais la fin (dont je me doutais, mais en mieux). Quelques images et des autoportraits cassés. Bientôt, nouvelle étape à Pise.

Constanze dans  l’avion

Café de la gareCafé du villageCellaCella

Autoportrait avec Constanze

Autoportrait cassé