Voilà le genre de vision qui me fait aimer le métro : il y a des créatures étranges partout sur les murs – qui nous regardent sans vergogne, dissimulées par le mimétisme de leurs encrages, puis qui vaquent à leurs occupations ordinaires, non sans nous avoir adressé quelques grimaces…
Combien de fois je me laisse attirer par un fragment d’affiche, distinguant clairement un sujet (ici, une femme qui se recoiffe), mais à présent que j’écris cette légende, j’en vois d’autres (ici, occultant en partie le soleil, un nuage qui sculpte une femme qui se recoiffe).