« Lorsque la dernière page est tournée, on découvre une conclusion assez forte, totalement juste qui permet à toutes les pièces du puzzle de prendre leurs places. »
Catégorie : Le Vaisseau ardent (Page 12 of 13)
« En définitive, Le Vaisseau ardent n’a pas les apparences du roman que l’on aborde par la bande, en dilettante, expédié sur un coin de table ou entre deux rames. Nous voici devant un texte dans lequel on plonge, on s’immerge entièrement, pour mieux se laisser couler dans un récit chatoyant tel un mirage à l’horizon marin.
Roman oscillant entre passé et présent, Histoire et légende, réalité et fiction, Le Vaisseau ardent imprègne durablement l’esprit, ré-enchantant en même temps l’imaginaire au point d’inciter à sa relecture, à défaut de retomber en enfance. »
« Ce roman mérite tous les superlatifs. Très long, très lourd (au sens littéral) il possède aussi de très beaux passages et des personnages très attachants. Le Vaisseau ardent est à mettre au rang des objets littéraires singuliers. Espérons que la publication en un seul volume ne freine les ardeurs du lecteur avide de grandes aventures. Grand mal lui en prendrait car Jean-Claude Marguerite est un grand conteur d’histoires, de celles où les rêves d’enfance se réalisent. »
Un conte initiatique, foisonnant d’aventures (…)
Le Figaro Littéraire, l’avis d’Astrid Larminat
« 18 ans de préparation, plusieurs années d’écriture, 1280 pages et 1,6 kg en main, il est bien difficile de résumer une œuvre si monumentale. Si le roman possède une ligne directrice forte, il aime prendre un cours sinueux, à la fois dans l’espace, dans le temps et dans la forme de la narration. »