littérature et photographie

Catégorie : Le Vaisseau ardent (Page 10 of 13)

Vous savez ce qu’il vous reste à faire. Bon voyage ! (Libraire des Halles)

« Comme les enfants, on est pris par le récit du vieil homme, on a envie d’y croire, on a envie d’une légende peu connue qui rejaillirait grâce aux recherches de l’historien. Mais voilà, ses résultats ne reposent que sur des déductions, des suppositions… Alors, que croire ?  »

« Un roman d’aventures, dont la lecture est elle-même une aventure. Vous savez ce qu’il vous reste à faire. Bon voyage ! »

Librairie des Halles (Niort), relayée par le groupement de libraires initiales

A découvrir, lire… et relire de toute urgence (Bifrost)

« Dès les premières lignes cependant, la plume de Jean-Claude Marguerite convainc et enchante. Le style est limpide, la langue riche et belle impose en quelques pages un grand conteur : le voyage sera forcément inoubliable. « 
«Un grand roman, exigeant et captivant, une de ces œuvres qui se voient offrir une place de choix dans les bibliothèques, inoubliables pour la simple raison qu’après leur lecture, quelque chose d’indéfinissable a changé dans le regard qu’on porte sur le monde.»

Bifrost (n° 60), l’avis d’Oliver Legendre

(repris par NooSFere)

 

Bifrost 60 mini

Le Vaisseau ardent


Actu SF vient de consacrer un article au Vaisseau ardent, qualifié de «Quête existentielle et symbolisme autour des mythes fondateurs de l’humanité et des légendes de la piraterie.»

«En ouvrant les pages du Vaisseau ardent, c’est au cœur des légendes que le lecteur se trouve embarqué. Non pas uniquement vers les mystères des récits classiques de flibustiers, mais bel et bien dans une quête de toute une vie, à la recherche des mythes originels qui constituent le fondement de nos sociétés.»

Je me nomme donc je suis

« Les noms des personnages constituent le leitmotiv du roman. La plupart ne sont d’ailleurs pas les vrais noms des protagonistes, mais les surnoms qui les désignent et qui les qualifient le mieux : Coupe-jarret, Fureteuse, Balafrée, Pue-la-mort, Mère-des-anges, L’Ours, L’Albatros, Qui-perd-gagne, Bouffon-savant, Morne-mer, Tempête…. et bien sûr Le Pirate Sans Nom lui-même, insaisissable car non nommé. Ces noms riches en symboles ne décrivent ceux qui les portent que par un seul de leurs attributs, tellement semblables aux dénominations que se donnent et se choisissent les pirates pour se définir. On n’existe que si l’on est nommé, et le nom dont on nous baptise ou que l’on se donne fait sens, nous crée et nous construit. »

L’avis de Chloé, pour Actu-SF

Le Vaisseau ardent est né d’un conte destiné à votre fils (ActuSF)

Interview de Chloé, ActuSF

Jean-Claude Marguerite est l’auteur du Vaisseau ardent, son premier roman paru aux éditions Denoël au mois de juin 2010

ActuSF : Le Vaisseau ardent est né d’un conte destiné à votre fils. Comment vous est venue l’idée de transformer cette histoire en véritable roman pour adulte ?
Jean-Claude Marguerite : Lors d’un dîner amical, j’ai été invité à parler de ce conte, qui était devenu un roman qui avait plu sans convaincre d’éditeur. Mon interlocuteur dirigeait une revue de plaisance italienne et j’ai naturellement axé ma présentation sur la présence du voilier qui brûlait sans se consumer. Et tout en parlant, j’ai réalisé que j’étais passé à côté de quelque chose d’essentiel : ce vaisseau que je traitais comme un accessoire méritait rang de personnage.
Avant la fin du dîner, cet ami me proposait de publier un livret de 80 pages sur ce vaisseau, pour accompagner son numéro d’été. J’ai dit oui, tout en sachant que je n’avais pas encore matière à dix pages ! Je me suis aussitôt lancé dans l’enfance d’Anton Petrack. Mais le temps de rédiger un chapitre et de faire un plan, le projet tombait à l’eau, au profit d’une simple nouvelle de cinq mille signes. Le plan en faisait le double. J’ai donc écrit L’Île du Chaos noire, que j’ai fait traduire en italien… et qui n’est pas parue.
Cela faisait douze ans que je travaillais (assez épisodiquement) sur cette histoire, vous imaginez la frustration… C’est certainement elle qui m’a décidé à m’y remettre. Mais je n’aurais peut-être pas relevé le défi si je ne venais pas aussi de découvrir un plaisir profond à écrire sans les restrictions de la littérature jeunesse. Ce fut une vraie libération.

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